Il traverse Frederick, une ville décourageante, parce qu’une heure plus tôt il avait cru arriver à Frederick alors que c’était en fait Westminster.
Il traverse Frederick, une ville décourageante, parce qu’une heure plus tôt il avait cru arriver à Frederick alors que c’était en fait Westminster.
This entry was posted on mardi 4 février 2014 at 18 h 52 min and is filed under Amérique, Automobile, Etats-Unis, John Updike, On the road. You can follow any responses to this entry through the RSS 2.0 feed. Both comments and pings are currently closed.
Vos textes sont précieux (mais j´imagine que votre temps libre aussi ,donc je ne veux pas trop exiger!).
Sachiez que grâce à vous j´ai découvert des choses magnifiques, comme le Carnet de Notes de Bergounioux, une lecture plus approfondie de Sebald, et que sais je d´autre encore.
Un lecteur portugais
La magie du nom est nulle part aussi trompeuse qu en Amerique!