I am one of the lucky ones, he would say to the friends who were visiting Paris and with whom he would have a meal or a drink. My needs are simple. I do what I am good at and the world is prepared to leave me alone. What more could I want?
(G. Josipovici, The cemetery in Barnes)
Les livres de cette année qui resteront pour celles qui viennent, d’un ermite (le Shigeji de Chiisakobe),
à l’autre (tombeau de Bernard Hoepffner par Gabriel Josipovici).
Où, au premier ou second plan de ces solitudes plus ou moins recherchées et plus ou moins heureuses, il est aussi beaucoup question de départs, de retours, de retours sur des retours, et de la manière dont les lieux peuvent vous suivre même quand vous n’y revenez pas.
- Minetaro Mochizuki, Chiisakobé
- Jean-Philippe Toussaint, L’urgence et la patience
- Antoine de Baecque, Ma transhumance. Carnets de routo
- Marie-Hélène Bacqué, Retour à Roissy
- Pierre Bergounioux, Hôtel du Brésil
- Ryoko Sekiguchi, Nagori
- Laurent Demanze, Le nouvel âge de l’enquête
- Tanguy Viel et Christian Garcin,Travelling
- Jean Rolin, Savannah
- JeanRolin, Terminal Frigo
- Tanguy Viel, Icebergs
- Jean-Luc Lagarce, Journal
- Gabriel Josipovici, The cemetery in Barnes