Je viens de terminer L’Homme sans talent de Yoshihura Tsuge (1).
À la fin du dernier chapitre, en grande partie consacré aux dernières années de la vie du poète Seigetsu Yanaginoya,
l’image en noir et blanc de ce dernier, au bout de son errance et au plus loin des autres hommes, quelque part dans la vallée d’Ina, m’a rappellé, mais comme en négatif, celle de Robert Walser
le 25 décembre 1956.