Avec un retard considérable (mais le temps passe-t-il en ce moment?), je note ici la liste des textes qui ont compté pour moi en 2020. Des découvertes, mais aussi pas mal de relectures (et il y en aura d’autres) de livres dont je ne m’éloigne jamais trop comme des oasis dans les toujours possibles traversées du désert.
Janvier : Clyde Fans, de Seth, Le détail de D. Arasse (lecture exhaustive cette fois), Un paradigme, de J.-F. Billeter.
Février : Ceux qui restent, de Benoît Coquard (la sociologie est une littérature contemporaine…), Fuir et La clé USB, de J.-F. Toussaint.
Mars : Kafka sur le rivage de H. Murakami, avant le grand confinement.
Avril : Histoire de l’habitat idéal, d’A. Berque (que le confinement me permet de lire de bout en bout), L’appareil-photo, de J.-P. Toussaint toujours.
Mai: Florida, de Lauren Groff.
Juin: désert.
Juillet, août, les relectures seules émergent: Icebergs de Tanguy Viel, The Cemetery in Barnes, de G. Josipovici (drôles d’oasis).
Septembre: Affranchissements de Muriel Pic, et je termine Sac d’os de Stephen King.
Octobre: Albertine disparue, de Proust, A History of solitude de D. Vincent, et Trois anneaux de D. Mendelsohn
Novembre: Dominique Kalifa, L’encre et le sang.
Décembre: Certaines lignes des Lignes secondaires de Martin de la Soudière.